(S2 🟢) A la racine de la race : après la Shoah des suidés, les scions du Hirsch repoussent

C'est un endroit qui ressemble à la Louisiane À l'Italie Il y a du linge étendu sur la terrasse Et c'est joli On dirait le Sud Le temps dure longtemps Et la vie sûrement Plus d'un million d'années Et toujours en été Le Sud, Nino Ferrer

Mais, ça tourne ! Salut la compagnie,

Désolé, ces derniers temps je n’arrête pas de rêver du SuD. Vous savez, celui dont nous venons tous. Le JaRDiN d’ʕeDeN. La grande FoRêT. Comment ? Ça ne vous dit rien ? Vous n’êtes pas au courant que nous venons tous de la Grande Forêt du Sud ? En même temps, ça ne m’étonne pas. Nous l’avons détruite la Grande Forêt du Sud. Il n’en reste plus que des miettes.

Oui, je sais c’est triste. Mais vous savez :

Un jour ou l'autre il faudra qu'il y ait la guerre On le sait bien On n'aime pas ça, mais on ne sait pas quoi faire On dit, "c'est le destin" Tant pis pour le Sud C'était pourtant bien On aurait pu vivre Plus d'un million d'années Et toujours en été

Mais … tu pleures Polisson ? Toi aussi tu es triste quand le Paraklet parle de la Grande Forêt du Sud ? Allez, viens par-là, pour te remonter le moral je vais te raconter une histoire drôle. Tu savais qu’en 2003, il y a 20 ans, j’avais fait une « bouffée délirante » ? C’était une période particulière de ma vie, je fumais alors hélas beaucoup et malheureusement pas que des cigarettes. On était à la fin de l’automne, et tout d’un coup j’ai eu un flash. J’avais trouvé la STRuCTuRe fondamentale de l'univers. Oui, oui, Polisson, la structure fondamentale !

Mais attends Polisson, ça n’est pas tout ! Figure-toi que cette structure c’était le RoND et l’aRBRe mélangé. Je voyais des rond-arbres partout. Un peu comme sur la couverture du livre Cosmogonies de Julien d’Huy. Ou comme le Samekh et le Shin dont je te parlais dans ma dernière vidéo. Ou comme ces signes sexuels du masculin et du féminin, ou encore comme la croix d’Ankh.

Et ça tournait, et ça tournait. Figure-toi qu’alors je me suis carrément pris pour le MeSSie. Mais regarde 20 ans plus tard, le Paraklet parle sur YouTube à un caméléon assis sur un canapé jaune en dessinant des trucs bizarres sur un tableau ! Avoue que c’est drôle non ? Ah, ça me fait plaisir de te voir reprendre des couleurs mon petit Polisson !

Bon - où en étions-nous ? Ah oui, dans ma dernière vidéo sur le sexe, je vous ai parlé d’Eve et d’Adam, de l’arbre de la connaissance du Bien et du Mal. Et bien, dans cette deuxième vidéo particulièrement VeRTe sur le son Sha, vous allez comprendre pourquoi le pieu qui se plante et s’estoupe, c’est en fait l’arbre qui cache la Grande Forêt. Et vous comprendrez aussi pourquoi pour votre entreprise, c’est l’« écosystème » qui compte avant tout.

A tout de suite !

Voilà ce qu’on appelle : « La voie de la racine profonde, de la base ferme, De la longue vie et de la vision durable » Lao Tseu, Tao Te King, Chant 59 (-300 ?)

Or, un rameau sortira de la souche de yiShay, un rejeton poussera de ses racines. Isaie, 11.1 (-750 ?)

Bonjour, je suis Emmanuel Ifergan et, depuis 2014, soit depuis plus de 8 ans maintenant, je développe une solution conçue pour faciliter la coopération entre les entreprises. Depuis 2018, j’ai échangé en vain avec des centaines de dirigeants et de dirigeantes de grandes entreprises françaises – en leur expliquant que la bureaucratie, l’inertie, la démotivation, étaient directement liés à la centralisation de leurs processus de gestion. Et pourtant, malgré tous mes efforts, aucune grande entreprise française n’a été en mesure de même tester cette nouvelle approche.

Qu’est-ce qui bloque ? Globalement, l’incapacité des grandes organisations à s’ouvrir sur l’extérieur. Car l’ouverture de l’entreprise, c’est bien plus complexe qu’il n’y paraît. C’est un sujet « interdisciplinaire » qui implique les directions financière, juridique, achats, transformation sans oublier les business units opérationnelles – à tel point que même les PDG sont dépassés par l’ampleur du sujet.

Et c’est parce que j’étais confronté à un tel blocage que j’ai décidé en 2020, en plein confinement, de me tourner vers le grand public pour expliquer l’immense enjeu de la coopération et de la fluidification des échanges inter-entreprises.

Cette démarche de vulgarisation a d’abord porté sur l’informatique, le droit et la gestion - domaines que je connaissais bien pour les pratiquer depuis plus de 20 ans. Mais, petit à petit, mon champ d’investigation s’est progressivement élargi à la linguistique et à l’anthropologie – sans jamais perdre de vue mon objectif premier : libérer le potentiel des organisations par la coopération.

Jusqu’à ce qu’un jour d’automne 2021, je découvre, dans un moment de révélation, que le langage de la contractualisation et de la coopération plonge en fait ses racines au plus profond de l’histoire de notre espèce –découverte dont vous n’avez pas fini d’entendre parler 😉

Allez, au boulot !