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Le mystérieux « Sans-Os »

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Et pour conclure ce passage sur la satiété, le Paraklet va vous révéler un nouveau secret grâce à la magie de la linguistique Paléolithique. Cette fois-ci il se trouve dans Les Travaux et les Jours d’Hésiode, ce magnifique ouvrage qui décrit la vie agricole en Grèce rythmée par les SaiSoNs. Un passage mystérieux a interrogé de nombreux commentateurs depuis des millénaires, il s’agit du passage concernant le mystérieux « Sans-Os » aux vers 524 et 525.

Je vous le lis, nous sommes en plein hiver, il fait très froid et Hésiode nous décrit d’un côté une jeune fille qui se prélasse au chaud dans sa demeure, « cependant qu’en ces mêmes jours d’hiver le Sans-Os ronge son pied » (P45-46), en grec « aNoSTéos ». Comme le précise Christine Hunzinger « Il s’agit peut-être du poulpe … ». Edgard Beall, le spécialiste américain d’Hésiode rapporte que déjà au IVe siècle avant JC, Antigone de Caryste mentionnait cette explication farfelue. Edgard Beall penche lui plutôt pour un escargot. Un poulpe🐙 ou un escargot🐌 qui ronge👄 son pied🦶 dans une cabane🛖 en hiver⛄️ – ils sont drôles🤡 ces Pharisiens quand même !

Non mes enfants, aNoSTéos, ça n’est pas un « Sans-Os », mais tout simplement celui qui n’a pas de NouRRiture, toujours de « Sha Ta ». maSeʔet en hébreu. MaNGer, se RaSSaSier. Et ce que veut dire Hésiode, c’est que celui qui n’a pas fait de PRoViSion pour PaSSer l’hiver, il se mange les pieds, on dirait aujourd’hui il se « mange les doigts ».

Et ce qui est le plus dingue, c’est qu’en quelques siècles cette explication si simple ait pu être oubliée par les Grecs eux-mêmes. C’est ça la malédiction de l’écriture dont je vous parlais dans ma vidéo sur la série des sermons du sire disert. C’est ça la malédiction des stupides sots Pharisiens. C’est ça la malédiction de la lettre qui tue.

Et voilà, notre grande vidéo sur les mystères du sexe au Paléolithique s’achève. L’excitation retombe, le plaisir s’estompe, et notre membre bien dur tout d’un coup s’aVaChit, devient ChéTiF, un peu ChiChe – oui, toujours cette ambivalence. Il se ratatine, ShRiNK en anglais, comme une petite crevette ShRiMP🦐, et se raccourcit, ShoRT.

Comment ? Vous ne trouvez pas que c’est une bonne fin mes enfants ? Mais enfin, c’est la loi de la vie. Tout est un perpétuel recommencement. Il y en aura d’autres. Après les bons moments viennent les mauvais. Après les mauvais viennent les bons. Et c’est sur ces paroles de sagesse Paléolithique qu’il est temps pour moi de conclure cette première Diberah, cette première histoire Rose 🩷 sur « Sha », en sonnant comme à mon habitude, le Shofar. Rappelez-vous. Zikhron. Ziqra. Chronos. TaShaT, TaShRaT, TaShaT.

6) Solutions

Bon, maintenant que vous savez tout ce que vous n’avez jamais osé demander sur le sexe, vous vous dites certainement, comme d’habitude : « OK mais concrètement qu’est-ce que cela implique pour mon entreprise ? ».

Vos processus (sexuels) sont des tue-l’amour

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Bon je vous ai déjà parlé de cette ambigüité fondamentale dans ma dernière vidéo entre sédentarisation et nomadisation, entre rassemblement et dispersion. Je ne voudrais pas me répéter – quoiqu’avec les Pharisiens, de la linguistique, de l’anthropologie comme ceux du monde de l’entreprise, j’ai bien l’impression que ce soit un passage obligé.

Revenons donc au début de cette vidéo : je vous y expliquais que chaque entreprise pouvait être vue comme un biface : ayant des clients d’un côté et des fournisseurs de l’autre. Et ce qu’il faut que vous arriviez à percevoir ça n’est pas votre entreprise de façon isolée, mais que toutes les entreprises sont connectées les unes aux autres par cette relation fondamentale de fournisseur et client. Relation qui est homologue à la relation sexuelle – et qui, comme je vous l’ai expliqué, fut le catalyseur de l’explosion cambrienne il y a 650 millions d’années.

Et bien, le problème voyez-vous c’est que pour s’accoupler, votre entreprise a mis en place des processus qui sont un véritable tue-l’amour. C’est compliqué. C’est long. C’est chiant. Bon, moi je suis persévérant, je peux attendre 10 ans. Mais la plupart des entrepreneurs d’aujourd’hui n’ont pas ma persévérance, ils lâchent très vite, en particulier les plus jeunes.

Voilà pourquoi vous devez permettre à vos collaborateurs et à leurs partenaires d‘interagir de façon autonome et au nom d’entités juridiques distinctes, pour définir des budgets, signer des contrats, engager des dépenses et effectuer des paiements – le tout en quelques clics et dans un cadre de gestion sécurisé mais indépendant de votre système de gestion centralisé actuel.

Ce qu’il vous faut, c’est un système d’échange conçu pour l’instant. Pour que le désir de collaborer soit toujours le moteur de la relation. Rappelez-vous, je vous en avais déjà parlé il y a 3 ans maintenant, dans ma vidéo intitulée « Mon remède à la bureaucratie. Désir et passion ! ». Mais bien sûr vous n’écoutez pas le Paraklet.

Vous avez peur de cette vision sexuelle de la relation client-fournisseur ? C’est normal – on a toujours peur face à l’inconnu, mais on se rend souvent compte petit à petit que ce n’était pas si monstrueux que ça en avait l’air. C’est justement parce que ce changement majeur ne peut faire sans accompagnement que j’ai créé weOva - afin d’assister au quotidien chacun de vos collaborateurs et chacun de vos partenaires dans la prise en main du premier « système stimulant l’échange ».

Alors je suis sûr que cette vidéo aura fait écho à des situations et des problématiques que vous rencontrez au quotidien dans votre organisation. Au-delà du plaisir de vous faire partager ce que je considère être une découverte anthropologique majeure, mon principal objectif est d’abord de pouvoir contribuer – à la mesure de mes moyens – à transformer votre entreprise pour la rendre plus agile, plus rapide, plus ouverte.

Et pour cela, il vous suffit de me contacter sur LinkedIn, en cliquant sur le lien ci-dessous, afin que nous convenions ensemble d’un créneau de 30 minutes durant lequel j’identifierai avec vous les principaux leviers qui vous permettront d’avancer concrètement et rapidement dans cette voie.

Mais n’attendez pas, n’oubliez pas que l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt !